Lors de la réalisation de travaux de construction ou de rénovation, la valeur du bien peut être augmentée, avec des répercutions de cette plus-value sur l’impôt sur la fortune.
Cet impact peut être limité en finançant ces travaux par des emprunts bancaires, en refinançant le bien ou en augmentant l’hypothèque.
La déductibilité de cette nouvelle dette minimisera l’impôt sur la fortune (il faut toujours garder à l’esprit ce mode de financement lorsqu’on envisage de réaliser ces travaux).
Avec l’obligation d’amortir la dette chaque année, cela augmente l’exposition à l’impôt sur la fortune.
Les comptes de prêts antérieurs à 2017 ne sont pas déductibles de l’ISF, mais on peut arguer que leur refinancement par une dette bancaire pourrait l’être.
Profiter des taux d’intérêt bas et des financements bancaires relève du bon sens économique.